- « Les vrais millennials, les moins de 20 ans, ne sont pas très podcast, parce que je pense que le terme est encore un peu excluant. De même que les plus de 50 ans ne sont pas très podcast non plus » déclarait Mathieu Gallet, introduisant donc une réflexion sur les publics du podcast et comment faire pour aller chercher les plus jeunes et les plus âgés, comment parler du podcast et le faire connaître au plus grand nombre.
- « On a aujourd’hui un usage qui se répand d’une consommation à la demande : selon son temps, selon son moment de la journée, selon son humeur, quelque chose de personnalisé ». Pour Mathieu Gallet, la personnalisation est un des arguments forts du podcast. La consommation à la demande est de plus en plus plébiscitée par les publics, on le voit avec les habitudes maintenant bien ancrées de J+7 pour les programmes télévisés ou encore avec les plateformes comme Netflix qui proposent des contenus recommandés en fonction des goûts de ses utilisateurs. Une technologie qui tend à enfermer les utilisateurs dans leur filter bubble ?
- « Si je veux être aujourd’hui dans une vie de découverte de podcast, ça devient un cauchemar de naviguer dans ce catalogue, personne n’a encore réussi à craquer cela » disait Justine Gheeraert, l’occasion de réfléchir à de nouvelles perspectives pour mettre en valeur le podcast jusque dans son accessibilité. Pour rendre le podcast plus populaire, il faut aussi qu’il soit plus simple, plus attractif.